Cherise Fong a travaillé dans des start-ups web à New York, Monaco et Londres avant de devenir journaliste indépendante. Elle a collaboré notamment avec CNN.com International, MCD, Poptronics… Pour Makery, elle donne des nouvelles des labs et de la culture maker au Japon, aux Etats-Unis et dans le monde entier, et assure également l’essentiel des traductions en anglais.
Entièrement open source, avec recette en ligne, matériaux accessibles en fablab et bientôt en kit à une centaine d'euros, l'OCPC ou «One CNC Per Child», conçue au Japon, augure la révolution de la machine à commande numérique pour tous.
Dans la famille des kits de prototypage rapide, je voudrais Mesh, dernière solution made in Japan de modules pour connecter les objets. En vente au Japon et aux Etats-Unis.
La toute première Fablearn Asie a eu lieu les 12 et 13 décembre à Yokohama, dans la foulée des conférences Fablearn organisées depuis 2011 par l’université de Stanford en Californie. Makery y était.
Né au pays d'Hello Kitty, le jeune collectif japonais Neurowear prototype des prothèses ludiques (oreilles de chat, queue de chien…) qui suscitent tout de suite le sourire… en exploitant nos ondes cérébrales.
Universitaire, Hiroya Tanaka est le pionnier des fablabs au Japon. Ce Neil Gershenfeld nippon a ouvert plusieurs fablabs et formé des bataillons de makers. Portrait.
Au Japon, où l'activité agricole est vieillissante, la recherche lorgne du côté de solutions connectées. Sensprout et Techrice sont deux projets conçus à partir de capteurs d'environnement.
Même si les makers inconditionnels aiment tout fabriquer à partir de zéro, surtout quand il s’agit d’une simple horloge, c’est parfois plus facile de partir d'un kit. Makery vous en propose une brochette, selon que vous êtes plus ou moins matheux.
Deux makers ont monté à Tokyo Akafugu, qui propose des kits open source pour fabriquer des horloges design à partir de vieux tubes Nixie et tubes d’affichage fluorescent.
Musée de la catastrophe ou piqûre de rappel de notre vulnérabilité après Fukushima, l'expo «Don’t Follow the Wind» est invisible, car installée en pleine zone contaminée. Pour les générations futures et notre propre prise de conscience.
Au beau milieu des rizières de Kozuka au Japon, trois fondateurs du Tokyo HackerSpace ont créé Hacker Farm, un hackerspace rural pour bricoder au vert, en toute tranquillité.
Pourquoi n'y a-t-il qu'un seul hackerspace à Tokyo? Depuis six ans, le Tokyo Hackerspace a beaucoup déménagé, jusqu'à ce garage tranquille de la banlieue nord-ouest, que Makery a visité.
Des oiseaux en origami qui dansent en chœur, est-ce du papier animé, de la bidouille créative ou de l'art traditionnel japonais revisité? A la découverte du collectif de designers makers Ugoita.
Un drone du passé, le ptéranodon ornithoptère, vole à l'aide d'un simple élastique. Mode d'emploi avec son concepteur, le Japonais Toshitatsu Munakata.
Depuis 2003, l’Ycam de Yamaguchi est un centre d'art dédié aux médias, ouvert au prototypage et à l’open source. Il accueille artistes, programmeurs et public, notamment dans son Edu Lab.
En visite sur la grande île au sud de l’archipel du Japon, Kyushu, connue pour ses stations thermales (sable volcanique, boue fondante et eaux bouillantes), et où les initiatives de fablabs se multiplient.
Les 23 et 24 novembre, la Maker Faire Tokyo a réuni makers et artisans électroniques japonais pour un carrousel d’inventions plus ou moins commerciales… Retour en images.
Né à Tokyo après la catastrophe de Fukushima, Safecast mesure les radiations à l'aide d'un boîtier DiY et partage les données sur une carte. Rencontre avec l’équipe fondatrice du projet.
A Tokyo, les espaces de fabrication numérique s'inspirent du fablab tout en adaptant le concept à la société japonaise, où l'achat reste la première des solutions pour s'équiper.